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Après le chêne périgourdin d’Edouard COURTES, après le grand chêne du parc municipal de Caussens, voici dans la trilogie du chêne :

QUERCUS le chêne de la forêt de RAMBOUILLET

Lors d’une matinale d’une radio du service public, j’ai assisté à l’entretien de Laurent TILLON qui m’a paru avoir une grande connaissance du monde des arbres et surtout…de grandes capacités pédagogiques.

Alors cela m’a suffit à acquérir « ETRE UN CHËNE, sous l’écorce de Qercus » par Laurent TILLON

Comment décrire ce livre ?

On pourrait, sous certains aspects, le classer dans la catégorie des fictions, mais non c’est un livre d’histoire, celle avec un grand H, mais non c’est un recueil de biologie et d’histoires naturelles à moins que ce ne soit QUERCUS qui m’ait dévoré.

Moi qui n’ai eu de formation en biologie que ce que j’ai pu capter dans la nature, participer à la photosynthèse, suivre le cheminement de la sève qui monte et celle qui redescend, vivre la symbiose de l’arbre avec ses semblables et son environnement a été un choc presque une naissance.

Moi qui aime bien l’histoire, vivre l’histoire de la forêt française et des hommes qui l’on gérée de la Révolution à nos jours à travers la vie d’un arbre m’a captivé.

Et enfin très rapidement à travers les pages j’ai vécu avec QUERCUS . J’ai partagé ses joies, ses souffrances mais aussi sa capacité à surmonter les épreuves et mettre en place des stratégies pour cela.

Quand je vous ai dit que ce livre est un roman et que Laurent TILLON a de grandes capacités pédagogiques !!!!

J’aime déjà beaucoup les chênes mais désormais je les observerai avec un regard plein d’émotion pour ce qu’ils sont capables de faire et je suivrai le conseil de Laurent TILLON : je vais choisir un « GRAND CHËNE », le visiter réguliérement et me connecter à lui.

Malheureusement ce ne pourra pas être le grand chêne du parc municipal de Caussens, il est trop tard.

Et G BRASSENS chantait : « … à l’ombre de mon arbre, je vivais heureux…. »

Merci Laurent TILLON

Si vous avez déjà lu ce livre ou si ce texte vous a amené à le lire n’hésitez pas à laisser vos commentaires sur le site de l’ASPPAR, ils nous intéressent.

Jean-Marie SOULESTIN

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