Le plan Sécurité routière de Bernard Cazeneuve suscite de vives réactions parmi lesquelles une pétition.
Ces diverses initiatives montrent qu’un nombre croissant de personnes ne croit plus à des mesures basées sur le principe de “la route qui pardonne”.
Elles ne supportent plus des abattages qui sont une atteinte à nos paysages et notre cadre de vie et qui ne servent à rien : les abattages n’apportent pas de gain de vie significatif.
Seules les mesures visant le comportement de l’automobiliste apportent des améliorations significatives.
Il n’y a pas de relation entre le nombre des arbres et le risque
Suite à un abattage, le risque n’en est pas diminué pour autant parce que – dans un département donné – le risque d’être tué ou blessé sur une route n’est pas lié au nombre d’arbres d’alignement.
Autrement dit, enlever les arbres n’entraîne pas une diminution de l’exposition au risque.