Vu l’ampleur du massacre, chacun se défend et affirme avoir été mis devant le fait accompli pour annoncer que, au final, c’est la faute du transporteur et qu’il devra payer les replantations.
Parlons d’abord de patrimoine
Avant de parler de replantations, il faut travailler sur les deux points suivants :
1) évaluer la perte patrimoniale
Ces abattages représentent une perte patrimoniale importante, perte qu’il faut d’abord évaluer.
2) savoir qui n’a pas protégé notre patrimoine
Les arbres de bord de routes sont un patrimoine protégé, la France ayant signé la Convention Européenne du Paysage. Il faut donc établir la responsabilité de chacune des collectivités concernées (Préfecture et Conseil Départemental) et de leurs services techniques.
Et ensuite, seulement ensuite, nous pourrons envisager de parler de compensations et de replantations.
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Vu l’ampleur du massacre, chacun se défend et affirme avoir été mis devant le fait accompli pour annoncer que, au final, c’est la faute du transporteur et qu’il devra payer les replantations.
Parlons d’abord de patrimoine
Avant de parler de replantations, il faut travailler sur les deux points suivants :
1) évaluer la perte patrimoniale
Ces abattages représentent une perte patrimoniale importante, perte qu’il faut d’abord évaluer.
2) savoir qui n’a pas protégé notre patrimoine
Les arbres de bord de routes sont un patrimoine protégé, la France ayant signé la Convention Européenne du Paysage. Il faut donc établir la responsabilité de chacune des collectivités concernées (Préfecture et Conseil Départemental) et de leurs services techniques.
Et ensuite, seulement ensuite, nous pourrons envisager de parler de compensations et de replantations.